Test de l’Apple iPad (2025) : le meilleur iPad pour la plupart des gens s’améliore encore

iPad (2025)

PDSF 349,00 $

4/5 ★★★★☆ Détails du score

"Le meilleur atout du nouvel iPad est son prix demandé inchangé, malgré le doublement du stockage et la mise à disposition d'une puce plus rapide. C'est un package raffiné qui ne déçoit pas."

✅ Avantages

• Conception épurée et construction haut de gamme
• Affichage net pour le prix
• Beaucoup de puissance de feu en silicium A16
• 128 Go de stockage pour le même prix
• La durée de vie de la batterie ne déçoit pas

❌ Inconvénients

• Les accessoires sont un peu trop chers
• Pas d'Apple Intelligence ni de Stage Manager
• La prise en charge du stylet est obsolète
• Écran non plastifié, encore une fois
• Charge lente

Je fais partie de ces fidèles désespérés de l’iPad en tant qu’ordinateur qui continuent d’adhérer davantage à la promesse hypothétique qu’à la réalité sur le terrain. Depuis qu'Apple a intégré le silicium M1 de classe ordinateur de bureau dans l'iPad Pro , j'ai massivement déplacé mon flux de travail vers la tablette d'Apple.

Entre les mises à niveau générationnelles s'étendant jusqu'au costaud iPad Pro M4 et au iPad Air M3 , j'ai également passé des mois à utiliser l'iPad de dixième génération comme machine informatique principale. J'ai survécu à l'expérience, sans perdre mon emploi, mais avec les cicatrices de l'iPadOS qui persistent.

Avec l'iPad de 11e génération, Apple ne change pas la formule fondamentale. Le prix reste identique, tout comme l'écosystème d'accessoires. Il y a cette fois-ci un nouveau processeur et plus de stockage interne sur le modèle de base, le tout au même prix demandé de 349 $.

C’est une liste déroutante, basée sur ce qu’elle peut techniquement accomplir et ce pour quoi elle ne devrait pas être achetée. Ce qui suit est un aperçu de ce que l'iPad de 11e génération apporte et jusqu'où il peut aller au-delà de l'attrait de « la tablette la plus abordable d'Apple ». 

Apple iPad (2025) : spécifications

Conception de l’iPad (2025) : familiarité raffinée

Le matériel de l'iPad est l'un de ses principaux atouts, en particulier à son prix de base demandé. Encore une fois, vous obtenez un châssis entièrement métallique en aluminium 100 % recyclé, disponible en quatre couleurs.

L'encombrement global reste inchangé, malgré la taille de l'écran passant de 10,9 à 11 pouces. J'aime le design sobre d'Apple sur l'iPad, encore plus que sur l'iPad Pro, qui possède une importante bosse d'appareil photo à l'arrière.

Cela ressemble presque à une bonne affaire que cette tablette coûte un peu plus de 300 $, mais soit dotée d'une construction entièrement métallique de qualité supérieure. En faisant pencher la balance à seulement une livre, l'iPad est confortable à tenir et la répartition équilibrée du poids ne fait qu'ajouter à une sensation de sécurité en main.

Cela compte beaucoup, surtout pour une tablette qui est avant tout présentée comme un outil de consommation multimédia et un outil de travail occasionnel.

S'affalant sur un canapé tout en regardant Netflix ou en l'utilisant pendant de longues périodes lors de présentations, le poids et la taille portable de l'iPad sont un grand avantage. Le revêtement de surface n’est pas non plus glissant, ce qui constitue une caractéristique souhaitable.

De plus, il fait un travail assez décent en éloignant les taches. J'ai les paumes moites, mais il n'a pas fallu trop d'efforts pour essuyer les empreintes avec quelques passages secs. Cependant, je recommande fortement un étui ou un skin pour l'iPad.

Le boîtier métallique est assez vulnérable dans les coins et même en cas de légers chocs, il a tendance à s'aplatir. Cela n'est jamais arrivé à aucune de mes tablettes, à l'exception des iPad. De plus, il est presque impossible de masquer les rayures sur la surface métallique polie, d'où cette incitation.

Les boutons physiques de volume et d’alimentation offrent un retour d’information satisfaisant. Pour l'authentification, Apple a une nouvelle fois intégré le capteur Touch ID au sein du bouton power. C'est rapide, fiable et facile d'accès.

Pour éviter tout ajustement gênant dans la main, j'ai configuré la reconnaissance des empreintes digitales de mon index et de mon pouce sur les deux mains. De cette façon, il devient plus facile de déverrouiller l'iPad, quelle que soit l'orientation ou la main dans laquelle vous le tenez.

Écran iPad (2025) : fait le travail

Tout comme le châssis, l'affichage sur l'iPad reste inchangé. Vous obtenez un panneau LCD de 11 pouces avec un taux de rafraîchissement de 60 Hz et une résolution de 2 360 x 1 640 pixels, ce qui se traduit par une densité de pixels de 264 ppp. La luminosité maximale reste également constante à 500 nits, et le dessus est également recouvert d'un revêtement oléophobe résistant aux empreintes digitales.

Pour le prix, c'est un écran de bonne qualité. Vous pouvez regarder vos émissions préférées et participer à des sessions de jeu marathon, sans rencontrer de problèmes liés aux couleurs. Les couleurs semblent bien saturées, le contraste est bon et les angles de vision ne sont pas trop mauvais non plus.

Bien sûr, par rapport à un OLED, les noirs ne sont pas aussi profonds, mais il n'y a pas de lumière disgracieuse qui coule le long des bords, ce qui est souvent le cas avec les appareils économiques.

J'ai fait un peu de retouche d'image et peaufiné quelques courts clips également, sans me heurter à des problèmes de disparité des couleurs. Les chiffres de luminosité sont adéquats, sauf si vous essayez de lire directement sous l'écran.

Le panneau est assez réfléchissant, vous voudriez donc maintenir les chiffres de luminosité élevés. La concurrence ne fait pas mieux qu'Apple sur ce segment de prix.

Pour son public cible, l’iPad de 11e génération offre un écran parfaitement utilisable. Ce n’est cependant pas sans son lot de bizarreries indésirables. Par exemple, il ne prend en charge que l’Apple Pencil de première génération et le modèle récent doté d’un capuchon USB-C.

L'Apple Pencil de deuxième génération et le modèle Pro ne sont pas compatibles, ce qui signifie que vous manquez des fonctionnalités telles que la détection du survol, la sensibilité à la pression et le roulis. Ensuite, il y a l’ensemble d’affichage lui-même.

Il s'agit d'un panneau non feuilleté, ce qui signifie qu'il y a un espace entre la couche de verre supérieure et l'unité d'affichage sous-jacente. En tant que tel, vous pouvez sentir le son creux en dessous lorsque vous appuyez avec la pointe du stylet, et le dessin n'est pas aussi fluide, surtout si vous avez placé une protection d'écran en verre sur le dessus.

Un écran non laminé n’est pas totalement rédhibitoire, ni carrément perceptible. Vous pouvez très bien continuer à prendre des notes et à dessiner. Ma sœur a beaucoup utilisé un iPad de dixième génération pour étiqueter des examens dentaires dans le cadre d'un projet d'apprentissage automatique et n'a jamais rencontré de problèmes flagrants.

Mais si vous êtes habitué à la saisie au stylet sur un écran laminé, la différence est facile à repérer. Ce que je recommanderais cependant, c'est de mettre une protection d'écran sur l'écran de l'iPad. Pronto, bien sûr. Les écrans d'Apple, même ceux dotés d'une protection en céramique, sont notoirement sujets aux rayures.

L'iPad ne fait pas exception. Je recommanderais d’opter pour l’une de ces fines protections d’écran ressemblant à du papier ou un protecteur mat. Dans l’ensemble, cet écran ne déçoit pas pour ce que vous payez.

Performances de l’iPad (2025) : un voyage en douceur

Apple a équipé l'iPad du processeur A16, qui offre un processeur à 5 cœurs, un GPU à 4 cœurs et un moteur neuronal à 16 cœurs. C'est le même processeur que nous avons vu pour la dernière fois sur la série iPhone 14. D'après mon expérience avec l' iPhone 14 Pro , ce silicium devrait idéalement voler sur l'iPad.

Eh bien, c’est le cas, mais de manière quelque peu étrange.

Pour les tâches quotidiennes telles que la navigation sur le Web, la navigation sur les réseaux sociaux, le streaming de vidéos et l'édition multimédia, la tablette est un jeu d'enfant. L'édition dans l'application Photos est fluide et mon expérience avec Photoshop Express et Filmora n'était pas trop mauvaise non plus.

Au moment où vous connectez le Magic Keyboard et essayez de le pousser comme un ordinateur, la nervosité devient apparente. Heureusement, les applications ne plantent pas immédiatement, mais avec le multitâche sur écran partagé et l'exécution de quelques applications saines en arrière-plan, la fluidité caractéristique d'un appareil Apple manque quelque peu.

Je pouvais sentir les brefs bégaiements lors du basculement entre les applications et les animaux ne me semblaient pas non plus aussi fluides, surtout par rapport à la fluidité de l'utilisation d'un iPad Pro. Il ne semblait pas aussi vif que l' iPad mini , livré avec le processeur A17 Pro plus puissant.

La gestion des ressources en arrière-plan semble assez agressive et j'ai remarqué de nombreux cas de rechargement des applications. Je tiens cependant à souligner que j'exécutais des ressources telles que Teams, Slack, Asana et Trello en arrière-plan, aux côtés d'une douzaine d'onglets de navigateur et du streaming Apple Music via Bluetooth.

Ce n'est pas le genre de charge de travail que l'iPad est conçu pour gérer avec sa quantité limitée de RAM, mais il a quand même fait le travail. Peut-il gérer le travail auquel je suis habitué avec mon iPad Pro ? C’est possible, mais avec moins de fluidité et en sacrifiant tout un tas de fonctionnalités, telles que Stage Manager et Apple Intelligence.

Après une brève série de modifications (une demi-douzaine de transitions, d'animations de texte et de superposition audio externe) sur une courte vidéo verticale, l'iPad a mis 1 minute et 54 secondes pour exporter le clip. L'iPad Pro équipé du silicium M4 a réussi en à peine plus de 40 secondes.

C'est le genre d'écart de performances fonctionnelles que l'on obtient, mais ce n'est pas trop grave, compte tenu du prix demandé. Si vous modifiez occasionnellement de courts clips, l'iPad peut les gérer. Ne vous attendez pas à ce que cela s'accélère dans les flux de travail de DaVinci Resolve. Ma première tentative audacieuse dans LumaFusion s'est soldée par un crash d'exportation.

Là où l'iPad a dépassé mes attentes, ce sont les performances de jeu. Dans Diablo Immortal, je me suis amusé à terminer des quêtes avec une fréquence d'images réglée à 60 ips et une résolution d'image élevée. Ce ne sont même pas les meilleurs préréglages graphiques, mais même avec des paramètres graphiques modérément élevés, la charge de l'appareil atteint sa valeur maximale.

En ce qui concerne l’expérience visuelle, je n’ai rencontré aucune chute d’image discordante ni aucun problème visuel persistant. Ensuite, je suis passé à Devil May Cry: Peak of Combat, qui est un autre titre graphiquement intensif. J'ai défini les paramètres de résolution, de texture et d'ombre sur Élevé tout en augmentant la limite d'image à 60 FPS et la qualité d'image en HD.

Une fois de plus, le jeu s'est déroulé sans problème, et même pendant les segments intenses de combat au corps à corps, les choses étaient fluides. Il n'y avait pas d'échauffement inquiétant même après des séances d'une durée de 15 à 20 minutes chacune. Sans surprise, la situation avec Call of Duty: Mobile n’a pas non plus été fluide.

La plus grande surprise pour moi a été Warframe, sans doute l'un des jeux AAA non Metal les plus exigeants. Même avec les paramètres graphiques définis dans la plage élevée, l'expérience de jeu s'est déroulée délicieusement sans problème.

Il y a eu quelques pertes occasionnelles de détails liées au gyroscope, mais sinon, le jeu RPG spatial a offert une expérience engageante sur iPad. En un mot, vous pouvez vivre une expérience de jeu agréable sur l'iPad, mais ne vous attendez pas à ce qu'il exécute des titres comme Resident Evil Village avec des paramètres graphiques de pointe.

En ce qui concerne les chiffres de référence, l'iPad de onzième génération est environ 48 % plus rapide en monocœur et 38 % plus rapide en multicœur sur Geekbench. Lors du test 3DMark Wildlife Extreme Stress, le nouvel iPad est environ 10 % plus puissant que son prédécesseur.

Ce qui m'a le plus surpris, c'est la stabilité impressionnante de 87,7 % lors du test de résistance, qui exécute un flux de travail graphique simulé sur 20 boucles. Il n'y a qu'une limitation de 9 % après le premier test, et les performances restent à peu près sur la même ligne pour les 19 exécutions consécutives suivantes.

À titre de comparaison, le dernier et le meilleur de Qualcomm, le Snapdragon 8 Elite, a obtenu un score deux fois plus élevé au même test de résistance, mais a délivré un score de stabilité de seulement 46,9 %, tout en affichant une baisse de performances soutenue après chaque cycle.

La tablette Apple fonctionne également beaucoup plus froidement que prévu, notamment par rapport aux processeurs Qualcomm et MediaTek sous une charge soutenue. Cela explique également pourquoi il a été capable d’exécuter facilement des jeux exigeants avec des paramètres graphiques respectables.

Dans l’ensemble, l’iPad de dixième génération est assez fiable et, grâce aux optimisations natives de l’iPadOS, il fonctionne de manière fluide et fluide. Ce n’est tout simplement pas la tablette que vous recherchez lorsque des avantages tels que les graphiques par lancer de rayons et la haute fidélité visuelle sont les principaux critères.

Batterie iPad (2025) : Un compagnon fiable

Apple revendique une autonomie de 10 heures sur l'iPad. Lors de mes tests, cela n’a pas été différent. Les jours où je ne l'utilisais pas comme appareil informatique pour le travail, mon engagement se limitait principalement à lire des bandes dessinées, à regarder des vidéos ou à lire des articles de recherche.

Avec ce genre d'utilisation récréative, je n'ai pas eu à recharger l'iPad deux à trois jours de suite. La consommation de batterie inutilisée sur l’iPad est fantastique. De plus, l'activation du mode faible consommation n'a aucun impact significatif sur l'utilisation à faibles enjeux, vous bénéficiez donc d'une incitation supplémentaire pour l'endurance de la batterie.

Tout en travaillant à plein régime avec un Magic Keyboard connecté, le meilleur kilométrage par charge que j'ai obtenu était d'environ 6 à 7 heures. J'avais au moins trois plateformes de chat fonctionnant en arrière-plan, un nombre égal d'applications de gestion de tâches, un client de messagerie, de la musique et deux fenêtres de navigateur.

La luminosité de l'écran était généralement réglée autour de 70 %, avec TrueTone désactivé. Pour un appareil qui reste fluide avec ce type de flux de travail et qui coûte autant, je dirais que l'iPad s'en sort bien en termes de batterie.

Ce n’est cependant pas l’appareil de chargement le plus rapide du marché. Il faut bien plus de deux heures pour remplir complètement un réservoir vide. Et pour tenir une journée complète de travail assis dans un café, je devais emporter sur moi une batterie externe de 10 000 mAh. En ce qui concerne les jeux, cela dépend carrément du type de titres auxquels vous vous adonnez.

Jouer à Warframe avec les meilleurs paramètres graphiques possibles a consommé près de 20 % de batterie en environ une demi-heure. Avec des jeux occasionnels, comme Alto's Odyssey ou Donut County, vous pouvez y jouer pendant environ quatre à cinq heures, tout en ayant encore un peu de puissance dans le réservoir.

Logiciel iPad (2025) : iPadOS, c'est bien, mais c'est frustrant

C'est là que la situation devient délicate. La saveur de l’iPad fonctionnant sur l’iPad de 11e génération est l’expérience vanille. C'est une façon plus agréable de dire qu'il lui manque les astuces les plus avancées que le système d'exploitation des tablettes d'Apple a à offrir, pour le meilleur ou pour le pire.

Si vous avez besoin d’un iPad principalement pour le divertissement, l’apprentissage numérique ou le travail de base sur le Web, l’expérience iPadOS 18 suffira. Il y a cependant encore quelques failles dans l'armure. Par exemple, Android permet désormais une expérience fantastique de redimensionnement des fenêtres, tandis que les iPad sont d’une rigidité exaspérante.

Stage Manager , qui donne à iPadOS une refonte similaire à macOS, est également absent. Cet avantage est limité aux tablettes équipées du silicium de la série M avec au moins 8 Go de RAM. Cependant, cela n’excuse pas le travail de mauvaise qualité d’Apple ici. OxygenOS, par exemple, propose une fantastique vue multitâche multi-applications appelée Open Canvas.

Le mode DeX de Samsung fait également un travail fantastique . Si vous envisagez de travailler en vue partagée en mode paysage, préparez-vous à appuyer sur le raccourci cmd + tab du clavier pour changer d'application. Beaucoup. Je n'ai jamais aimé l'approche coulissante cachée pour la fenêtre de la troisième application, mais cela pourrait bien convenir à votre goût.

Le gros problème est Apple Intelligence, qui impose à nouveau un minimum de 8 Go de RAM et définit une référence de performances pour le processeur A17 Pro. La pile d’IA est nettement en retard par rapport à la concurrence, et quelques fonctionnalités saines sont aléatoires.

Des arguments peuvent cependant être avancés en faveur de quelques-unes de ces astuces d'IA générative telles que les outils d'écriture . Pour un appareil que l'on trouve souvent dans les sacs à dos des écoliers, l'expérience de prise de notes pourrait nécessiter un perfectionnement avec des outils tels que la relecture, la variation stylistique, le résumé et la conversion de format.

C'est tout simplement drôle que le vide laissé par les efforts ratés d'Apple en matière d'IA ait été rapidement comblé par Gemini de Google , et de manière assez enthousiaste. Jetez simplement un œil au grand nombre d’outils du centre de contrôle liés à Gemini, que vous pouvez également mettre sur l’écran de verrouillage, d’ailleurs.

Ce n'est qu'une cerise sur le gâteau qu'ils fonctionnent de manière fiable et offrent une bien meilleure expérience que Siri, ou l'ensemble de la pile Apple Intelligence, en général. Je peux facilement recommander d'utiliser Gemini comme assistant par défaut sur l'iPad, du moins dans la forme actuelle d'iPadOS.

Du côté positif, iPadOS dispose d’un écosystème d’applications fantastique. Il est plus sûr et mieux optimisé que ses homologues Android. Mais en même temps, on ne peut s'empêcher de sentir l'expérience logicielle perdre de son dynamisme innovant, tout cela au nom de la familiarité et de la fiabilité.

Verdict iPad (2025) : un choix facile

L'iPad de 11e génération est familier, mais objectivement meilleur que le modèle de 10e génération . Pour le même prix, vous bénéficiez désormais de deux fois plus de stockage intégré à 128 Go et d'un processeur plus rapide. Il a une belle qualité de construction, offre un affichage net et se révèle être un artiste fiable.

La caméra frontale CenterStage 12MP offre une fantastique expérience d’appel vidéo. Pour 349 $, l’iPad de 11e génération offre de nombreux avantages en matière de tablette et constitue sans aucun doute la meilleure offre de tablette du marché. L’ensemble de la camaraderie matériel-logiciel présentée ici est tout simplement imbattable.

Là où ça pique, c’est la taxe périphérique. Pour les besoins informatiques faibles avec cette tablette d'entrée de gamme, je peux facilement recommander de sauter l'équipement d'Apple et de passer à des options telles que l'excellent stylet ESR Geo Digital et un étui pour clavier tiers comme Logitech.

Dans l’ensemble, vous ne pouvez pas vous tromper avec l’iPad de base en 2025, surtout si tirer le meilleur parti d’un investissement est votre principale préoccupation.